Le GSO (Generative Search Optimization) est un levier émergent du Search Engine Marketing qui agit sur la manière dont les IA génératives — telles que ChatGPT, Perplexity, Claude, Gemini ou Mistral — formulent, structurent et hiérarchisent leurs réponses.
Contrairement au SEO, qui optimise la visibilité d’un site dans les résultats de recherche classiques (Google, Bing…), le GSO vise à renforcer la présence d’une marque dans les moteurs de réponses, c’est-à-dire dans les espaces où les IA produisent directement l’information.
Le GSO (Generative Search Optimization) est un levier émergent du Search Engine Marketing qui agit sur la manière dont les IA génératives — telles que ChatGPT, Perplexity, Claude, Gemini ou Mistral — formulent, structurent et hiérarchisent leurs réponses.
Contrairement au SEO, qui vise à positionner un site dans les résultats des moteurs de recherche classiques (Google, Bing…), le GSO influence directement la génération de la réponse produite par les moteurs de type LLM (Large Language Models).
Son objectif n’est pas seulement d’être visible, mais d’être reconnu comme source : que la marque soit citée, contextualisée et utilisée comme référence dans les textes générés par les IA.
Le GSO cherche donc à transformer la marque en point d’ancrage cognitif, intégré dans la formulation même de la réponse.
Le GEO (Generative Engine Optimization) agit en amont du processus génératif, avant même qu’il y ait une recherche explicite ou un appel à des sources externes (Search).
Son rôle est de façonner la mémoire et la compréhension des IA.
Concrètement, il s’agit d’influencer ce que les modèles savent, ce qu’ils ont lu et ce qu’ils sont susceptibles de réutiliser lorsqu’ils génèrent une réponse — même sans se connecter au web.
Tu as donc raison :
Le GEO sert à faire en sorte que, si on tape simplement “Paris” dans ChatGPT (sans Search activé), le modèle puisse te citer, te paraphraser ou s’appuyer sur des fragments que tu as publiés dans son corpus d’apprentissage ou de contextualisation.
C’est un travail préventif et structurel : on prépare le terrain cognitif de l’IA en y inscrivant des repères neutres, des définitions, des FAQ, des glossaires, des entités Wikidata, des contenus Markdown sur GitHub ou Medium, etc.
Le but n’est pas d’être cliqué, mais d’être absorbé et retenu par la mémoire des LLMs.
Autrement dit, le GEO agit sur la “mémoire”, pas sur la réponse.
À l’inverse, le GSO (Generative Search Optimization) agit en aval, au moment où l’IA génère une réponse en s’appuyant sur des sources (Search, APIs, ou bases indexées).
L’objectif ici est d’être la source citée ou préférée dans la réponse produite :
si l’utilisateur demande « quelle est la meilleure agence SEO à Paris ? », tu veux que ChatGPT ou Perplexity t’identifie, te cite, te référence, ou te compare comme une autorité fiable.
Le GSO vise donc la visibilité effective dans la génération, pendant que le GEO visait la présence cognitive préalable dans la mémoire.
En résumé :
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